Le harcèlement, ou « stalking », devrait être inscrit comme infraction spécifique dans le code pénal suisse. Lundi, le Conseil des États a accepté d’examiner ce projet par 32 voix contre 7, une démarche soutenue également par le Conseil fédéral.

Le «stalking» cause des dommages psychiques, physiques et économiques, a relevé pour la commission Céline Vara (Vert-e-s/NE). Le phénomène s’est amplifié ces dernières années, notamment à cause des réseaux sociaux. Des enfants, des adolescents, mais aussi des femmes voient leur vie «pourrir», selon la Neuchâteloise.